Troisième semaine pour les mardis de l'été 🌞, le chiffre à lire les pieds dans l'eau ⛵ !
Cette semaine un chiffre qui questionne sur la "définalisation" du travail😬 et les conséquences sur la motivation et la réussite des équipes. 54% des Français estiment faire un travail vraiment utile pour la société.
Si vous voulez briller en soirée , on parlera alors de Praxis chez Aristote, c'est à dire la capacité à transformer par le travail d'un même mouvement le monde et celui qui l'accomplit. 🤓
Pourquoi nous levons-nous le matin ?, Quel est le sens de la vie ? Ce sont toutes des questions auxquelles nous pensons ou auxquelles nous devons répondre à un moment donné de notre vie, que ce soit professionnellement ou personnellement.
Le concept japonais d'Ikigai répond à ces questions, en trouvant notre raison d'être. Alors, qu'est-ce que Ikigai exactement et comment pouvons-nous utiliser ses leçons pour trouver un sens et du bonheur dans nos vies?
Ikigai, selon une définition , est notre «raison d'être», ou le bonheur d'être toujours occupé, tant dans notre vie professionnelle que dans notre vie quotidienne. C'est la passion et le talent que nous avons qui donnent du sens à nos journées et nous poussent à partager le meilleur de nous-mêmes avec le monde.
Dans la vie professionnelle, trouver son Ikigaï revient à trouver le job épanouissant au quotidien, que l’on a choisi et auquel on trouve du sens.
Ikigai se trouve au croisement de ces quatre questions, où se rencontrent passion, mission, vocation et métier.
Pour terminer, le travail est une activité qui mobilise l’intelligence, il n’est jamais pure application de règles prescrites. Même le travail qu’on présente comme une simple exécution demande à résoudre des problèmes, à adapter les consignes à la situation qui se présente pour répondre à la question de l’imprévu. Agir, c'est répondre à l'imprévu.
Pour le dire dans les termes de l’ergonome Alain Wisner, il existe un écart irréductible entre "travail prescrit" et "travail réel". Il est donc nécessaire de prendre le contre-pied du modèle tayloriste, celui d’une organisation du travail fondée sur le principe du "one best way", de l’unique bonne façon de produire dictée d’un "en haut" aux opérateurs par le bureau des méthodes !